Religion: le culte de Khaine

Culte de Khaine:

Le simple fait de mentionner les elfes noirs suffit à faire frissonner tous les habitants du monde de Warhammer. Leurs raids peuvent frapper n'importe quelle contrée et aucune race n'est épargnée, mais parmi les elfes noirs, ou Druchii tels qu'ils se nomment eux-mêmes, un culte inspire la peur à son propre peuple. Ce sont les adorateurs de Khaela Mensha Khaine, dieu de la Haine, du Meurtre et de la Guerre.




Khaine, comme cet être malfaisant est plus communément appelé, est l'une des divinités du panthéon des elfes. Même si les fils d'Ulthuan le respectent et reconnaissent en lui un mal nécessaire, seule la société des elfes noirs a engendré un culte qui encourage ouvertement l'adoration de ce maître. Khaine est le frère immortel de Morr, Dieu de la Mort. Jaloux du vaste royaume souterrain de son frère, il lui vole toutes les âmes qui ont été assassinées ou tuées à la bataille pour bâtir son propre empire des ténèbres.


Le culte de Khaine, désormais banni des terres d'Ulthuan, a vu le jour dans le royaume appelé Nagarythe. Même si ses pratiques étaient fréquemment critiquées, le peuple des elfes le tolérait car seuls des animaux étaient à l'époque sacrifiés à Khaine. Ce fut au cours des guerres qui furent menées contre Ulthuan par des bandes d'envahisseurs venus du nord que commencèrent les premiers sacrifices de mortels : les captifs étaient offerts au dieu pour que celui ci accorde sa force aux elfes de Nagarythe. Les prisonniers étaient ligotés sur de grands autels et sacrifiés sous les regards des guerriers de l'armée adverse, pour qu'ils sachent d'emblée quel destin les attendait s'ils venaient à être vaincus.


Les elfes des autres royaumes fermèrent les yeux sur cette sauvagerie, conscients que les habitants de Nagarythe étaient des combattants redoutables dont la valeur avait sauvé Ulthuan de nombreuses invasions. Le premier des Rois Phénix, Aenarion en personne, mania l'Épée de Khaine, une arme forgée par les dieux et suffisamment puissante pour trancher en deux même le plus redoutable des démons. Tandis que ses gens et lui étaient en guerre contre la menace constante venue du nord, Khaine passa dans les coutumes des elfes. Le danger diminua avec le temps et, à la mort d'Aenarion, l'Épée de Khaine fut déposée dans un temple situé sur l'Île Blafarde au nord d'Ulthuan. Chassés hors de tous les autres royaumes, les elfes fidèles à Khaine continuèrent de prospérer en Nagarythe.


Les temples du Dieu à la Main Sanglante étaient administrés par un groupe de prêtresses guerrières triées sur le volet désignées comme les Épouses de Khaine. La lourde responsabilité d'accomplir les sacrifices avant les batailles reposait sur ces femmes assoiffées de sang. Lorsque la paix régna enfin sur tout Ulthuan, les prêtresses se retrouvèrent privées de victimes et des rumeurs commencèrent à courir sur d'étranges disparitions de villageois à Nagarythe. Même si certains soupçons se portèrent sur le culte en expansion, aucune preuve de ses agissements ne put jamais être apportée.


Un nouveau péril vint bientôt frapper Ulthuan, et une fois de plus, c'est dans le royaume de Nagarythe que prit racine ce culte dédié à Slaanesh, dieu du Plaisir. A sa tête se trouvait Morathi, grande magicienne et veuve d'Aenarion. Malékith, propre fils de Morathi, prit la décision de dénoncer ce culte et de faire infliger à sa mère un châtiment public, puis il promit des récompenses aux elfes qui dénonçaient ceux qui s'adonnaient au culte du Plaisir et s'assura les services des adorateurs de Khaine qui traquèrent tous ceux qui s'y adonnaient. Cette chasse aux sorcières n'était cependant qu'une habile ruse.


Malékith avait vu l'opportunité de se débarrasser une bonne fois pour toutes de ceux qui s'étaient opposés à ses prétentions au trône. Il envoya les agents des temples de Khaine dissimuler de fausses preuves dans les demeures de ses ennemis pour pouvoir les accuser d'avoir succombé à l'attrait de Slaanesh et les écarter des affaires quotidiennes de la cour. Malékith affirmait les enfermer dans les cachots de ses donjons pour les laisser méditer sur leurs errements. Autre mensonge : ces prisonniers étaient en fait offerts aux prêtresses en signe de gratitude pour les services rendus.


Durant une longue période, Malékith laissa s'étendre l'influence de ces deux cultes, cela lui fournissait l'outil parfait pour mettre un terme à la carrière de ses adversaires politiques qui avaient fait avorter sa tentative de devenir roi.


Lorsqu'il jugea sa position suffisamment consolidée, il passa à la deuxième partie de son plan : accusant le Roi Phénix lui-même de faire partie du culte, il l'empoisonna avant qu'il ne pût se justifier et fit passer sa mort pour un suicide devant la honte d'avoir vu son secret éventé. Cette tentative était trop audacieuse et peu d'elfes prêtèrent crédit à une telle machination. Cependant, Malékith avait déjà occis plusieurs de ses rivaux et personne n'osa s'opposer à lui de peur de connaître une fin similaire. Les prêtresses de Khaine prirent d'assaut le temple d'Asuryan, exterminant tous ses occupants, premier acte hostile d'une guerre fratricide qui s'est poursuivie jusqu'à ce jour. Malékith clama alors son droit au trône d'Ulthuan et s'avança dans les Flammes d'Asuryan. Cet acte qui scella l'échec de sa prise de pouvoir a déjà été narré; la guerre fit rage en Ulthuan et les armées de Malékith furent vaincues. Tandis qu'il fut forcé de s'exiler, les plus douées de ses sorcières lancèrent leurs sorts sur les principales cités de Nagarythe pour les détacher des terres et en faire de gigantesques forteresses flottantes. Lorsque les elfes noirs exilés mirent pied sur le continent de Naggaroth, les temples de Khaine devinrent des lieux importants dans les nouvelles villes. A la même époque, le culte de Slaanesh se retrouva libre de toute persécution et prit rapidement de l'ampleur. Or, ces cultes désiraient tous deux obtenir le soutien de Malékith.


Le Roi Sorcier songea que son nouveau royaume devait être uni par une seule religion, car il lui fallait rassembler son peuple rapidement pour pouvoir mener à bien ses rêves de vengeance contre les hauts elfes. Malékith décida de ne pas intervenir dans les querelles entre les adorateurs de Khaine et de Slaanesh, car ceci n'aurait fait que tourner un des cultes contre lui. Il interdit formellement toute guerre religieuse; le conflit récent avait déjà décimé les elfes noirs, mais il savait surtout qu'il allait ainsi encourager les fidèles des deux camps à se livrer aux intrigues et aux machinations. Il prit un plaisir sadique à laisser les deux factions s'affronter pour obtenir le soutien du peuple.


Les nombreux agents des temples de Khaine arpentaient déjà secrètement les rues des cités nouvellement fondées. Pendant des décennies, ils s'étaient exercés à 1'art du subterfuge et leurs assassins avaient perfectionné leurs méthodes, éliminant discrètement les adversaires de Malékith en Ulthuan. Guidés par Hellebron, Haute Prêtresse de Khaine, les adorateurs entreprirent une guerre de l'ombre contre Slaanesh, tandis qu'elle même usait de sa langue de vipère à la cour de Naggarond pour saper les soutiens de Morathi et placer ses serviteurs auprès des membres de la noblesse. Morathi se montra aussi rusée que sa rivale : au moment même où Hellebron semblait l'emporter, elle révéla qu'elle avait en sa possession un chaudron orné de la marque de Khaine et qui avait le don de rendre la jeunesse à ceux qui s'y baignaient. Dans le royaume de Naggaroth, le bruit se répandit que Morathi avait elle aussi reçu les faveurs de Khaine. La loyauté des elfes noirs fut partagée entre Morathi, sorcière vénérant ouvertement Slaanesh, et Hellebron la Haute Prêtresse. Nombre des Épouses de Khaine désignèrent Morathi comme leur reine et un équilibre s'instaura. Hellebron savait que si elle n'agissait pas rapidement, toutes ses suivantes allaient vite se détourner d'elle.




C'est alors qu'un événement que seule la dirigeante d'un culte aussi sanglant que celui de Khaine pouvait concevoir sortit Hellebron de l'impasse : les nobles qui soutenaient Morathi furent enlevés dans leurs lits et sacrifiés sur les autels de Khaine. Les hurlements des mourants résonnèrent dans l'air froid de la nuit et on dit que Morathi dut prendre la fuite sur son Pégase Noir pour échapper aux intentions meurtrières de sa rivale. Cette nuit fut plus tard nommée la Nuit des Supplices et s'est depuis taillée une place permanente dans l'histoire et la vie des elfes noirs, comme dans celles du reste du monde de Warhammer.


Le matin suivant, Malékith fit venir à son palais Hellebron et ses prêtresses. Lorsqu'elles y pénétrèrent, un murmure grandit parmi les nobles de l'assistance : Hellebron semblait être parvenue à assembler son propre Chaudron de Sang et menait une procession de femmes toutes plus belles les unes que les autres. Les peaux ridées et les chairs pendantes avaient disparu, remplacées par des visages beaux, lisses et jeunes, et la beauté d'Hellebron rivalisait avec celle de Morathi. Tous les elfes noirs présents savaient que seule la Magie Noire avait permis ce miracle. Dans une tentative désespérée de mettre un terme à l'ambition soudaine de son ennemie, Morathi se proclama Reine de ce culte. Pour apaiser la colère d'Hellebron, elle accorda une reconnaissance officielle au culte des Épouses de Khaine en permettant aux Furies une fois par an à la date commémorative de la Nuit des Supplices de courir librement les rues et de faire des prisonniers où elles le désiraient, ce qui leur valut bientôt le nom de Furies. Dans l'année qui suivit, elles découvrirent que leurs charmes voluptueux s'estompaient tandis qu'elles retrouvaient l'aspect de vieilles mégères, mais la Nuit des Supplices peur permet à chaque fois de retrouver leur beauté.


Depuis ce jour, les suivantes de Khaine se montrent loyales envers Malékith. Chaque année, la même nuit, les elfes des villes de Naggaroth verrouillent leurs portes et condamnent leurs fenêtres avant que les Furies ne sortent des temples. Leur soif inextinguible de sang est provoquée par des décoctions d'herbes vénéneuses que seules les Matriarches, les Hautes Prêtresses des Furies, savent doser pour les empêcher d'ôter la vie. Tout elfe surpris dans les rues est amené sur les autels de Khaine pour connaître une lente et douloureuse agonie et les assassins crochètent les serrures des maisons de certains nobles ou d'autres elfes de haut rang pour que les Furies s'y engouffrent et amènent les familles entières vers les lieux de sacrifices. On dit qu'elles font connaître l'extase suprême à leurs victimes avant de les plonger dans des abîmes de souffrance dont aucun mortel ne peut se faire une idée, sauf dans ses plus sombres cauchemars. Les cris des suppliciés s'entendent jusqu'au lever du soleil, puis le silence retombe et chaque elfe noir remercie Khaine que le massacre les ait épargnés, lui et sa famille.


Les assassins employés par les temples pour espionner et tuer les ennemis d'Hellebron sont renommés pour être les plus versés dans leur art, pratiqué depuis plus de trois mille ans. Les temples leur fournissent toute une gamme de poisons mortels que seuls les Furies et eux savent manipuler sans danger. Les extraits mélangés des herbes et des plantes récoltées par les elfes noirs à travers le monde ont des effets sidérants; certaines de ces toxines sont rapides et tuent leurs victimes dès que le poison pénètre le système sanguin, qui se teinte de noir et donne l'impression d'un cadavre pris dans une toile d'araignée. Mais de nombreux acolytes de Khaine préfèrent des façons plus subtiles de donner la mort : des poisons comme le Lotus Noir peuvent prendre des heures pour se diffuser dans les veines. Tandis que le corps s'en imprègne, l'esprit est envahi de visions d'horreur, passe par plusieurs phases d'éveil et d'inconscience et au bout d'une lente agonie, la victime succombe enfin à cette expérience.


Lorsque les elfes noirs partent en guerre, il est extrêmement rare que les Furies ne les accompagnent pas. Chaque Arche Noire abrite dans ses profondeurs son propre temple et lorsqu'elles atteignent le rivage, les Furies en sortent pour partir en quête d'offrandes, emmenant parfois avec elles l'un des antiques Chaudrons de Sang. Ces reliques sacrées, dons de leur dieu et habités par son énergie malveillante, sont un mauvais présage pour leurs adversaires; les crânes des précédents sacrifices baignent en permanence dans un sang maintenu chaud. La statue de Khaine, le Dieu à la Main Sanglante, domine de toute sa hauteur cet infâme mélange, surveillant d'un oeil sévère les exploits de ses serviteurs au combat. Les Furies ont conservé cette coutume traditionnelle consistant à sacrifier des ennemis capturés avant le début de la bataille, leurs morts faisant émaner du Chaudron une aura de haine et d'envies de meurtre. Le fait que des adversaires des Druchii souillent les abords d'un périmètre occupé par Khaine ne peut être toléré et invite à ce que cet affront soit lavé dans le sang.


Les Matriarches préparent également des potions que les Furies ingurgitent avant de se battre. Ces filtres sont versés dans le Chaudron de Sang où chaque Furie vient s'abreuver au moyen d'une coupe cérémonielle conservée par la Matriarche. Cela les plonge dans un état de frénésie incontrôlable leur conférant la puissance de Khaine, au nom duquel elles jurent de n'épargner ses adversaires que pour les amener devant ses autels. L'effet de ces potions est si fort que les Furies ne se préoccupent plus de leur propre vie et cherchent à se battre si possible contre des adversaires supérieurs en nombre, poussées par un désir insatiable de se délecter des cris des mourants.


Mais hélas, il n'y a pas que sur les Terres du Grand Froid que Khaine le sombre dieu recrute ses nouveaux serviteurs et son culte s'étend toujours tant et plus dans tout le monde de Warhammer. L'adoration qui lui est vouée, pour des raisons que chacun peut comprendre, a été strictement interdite dans tous les royaumes où résident les hommes; cependant, il s'en trouvera toujours qui chercheront à détruire les civilisations de l'intérieur. Les Répurgateurs traquent et purifient ces cultes clandestins et les moindres représentations de ce dieu ont toutes été brûlées sur l'ordre du Grand Théogoniste Johann Helstrum. De nombreux assassins se rassemblent toujours en secret pour rendre hommage au dieu qu'ils adorent et les effectifs de ce culte impie ne cessent d'augmenter. Néanmoins, c'est dans les terres de Naggarond que Khaine a réellement trouvé son peuple et chaque attaque menée par les elfes noirs agrandit sa collection d'âmes prisonnières pour l'éternité.


Space McQuirk, traduction de Mîm du Warfo

Introduction:

Khaela Mensha Khaine est le sombre pouvoir que presque la totalité des druchii vénère. Le Dieu à la Main Sanglante, contrairement aux dieux brutaux des humains et autres sous races est un être d'une infinie complexité dont la subtilité est aussi absolu que sa cruauté et sa malice. Il existe des centaines de manière de tuer connu par les druchii, aussi Khaine possède-t-il des centaines de noms et de visages. Chaque forme prise par le Dieu représente un aspect différent du meurtre, allant du furtif et implacable Chasseur du Vide à la soudaine charge du Prédateur ailé. Ces aspect sont souvent vu comme un panthéon de pouvoirs distincts et complémentaires par les adorateurs de Khaine. Les vrais adeptes de Khaine, les assassins, adopent chacun un apect spécifique du Dieu et se dédient complètement à la maitrise des outils et des méthodes de meurtre.
Le Culte du Plaisir nous présente 4 de ces aspects.

Le Porteur de Mort

Le Porteur de Mort, l'aspect de Khaine du Tueur sans pitié, est à juste titre la face la plus terrifiante de la divinité. Khaine acquère cet horrible aspect en temps de guerre et de pillage, quand les mortels osts druchii se jètent sur les peuples imprudents des terres cotières. Les pillards délectent leur Dieu qui les observe quand ils envoient à la boucherie leurs victimes désarmées, tuant des enfants devant les yeux horrifiés de leurs parents, poursuivant à mort les villageois en fuite, et massacrant des communautés entières simplement pour les quelques moments de plaisir qu'un tel carnage apporte. Mais les druchii peuvent aussi sentir le contact du Porteur de Mort, car il apparaît durant la Nuit des Supplices quand les esclaves et même les Druchii sont tués sans aucune pitié ou contrainte, leur sang remplissant les rues des villes de Naggaroth.

L'aspect du Porteur de Mort est encore plus adoré pendant le festival des six jours somptueux connu sous le nom de Récolte des âmes, quand les maisons nobles Druchii donnent plusieurs de leurs esclaves en sacrifice aux temples, pour une mort sanglante sur les autels du sombre dieu. Ces offrande peuvent être récompensées pendant la Nuit des Supplices, si le sacrifice est jugé assez important pour que ces familles soient épargnées, mais celles qui n'ont pu satisfaire le Dieu et les matriarches savent qu'elles ne peuvent compter que sur la mort et l'agonie durant la prochaine Nuit des Supplices.

Écrire la rune de Khaine sous son aspect du Porteur de Mort est presque un blasphème, car elle est un des aspects les plus saints, et son signe est gardé étroitement par les matriarches et les assassins des temples. Il inspire la crainte en tout ceux qui ne sont pas de sang Druchii et qui l'identifient à ce qu'il représente: horreur, douleur et massacre aveugle.

L'assassin qui souhaite suivre le chemin du Porteur de Mort doit supporter beaucoup d'épreuves. D'abord, il doit surmonter ses propres craintes - la crainte de Khaine, crainte que l'aspect ne se retourne contre lui. Une fois que sa crainte est maîtrisée, il doit montrer ce que signifie pour lui être un tueur impitoyable. Une épreuve pour prouver cette valeur est de retrouver les familles originales et de mettre leurs lames pointues sous leurs gorges (ndlt: de les égorger. Ceci est d'autant plus facile que de nombreux assassins ne connaissent pas leur famille ayant été enlevés encore nourisson). D'autres naviguent sur les océans avec les corsaires, pillant et voyageant longtemps dans les terres des humains, massacrant toutes les choses vivantes qu'ils trouvent, qu'elles soient des hommes, des femmes, des enfants ou des animaux.

Le Porteur de Mort est un des aspects les plus dangereux à suivre, et beaucoup qui essayent meurent en essayant. Ceux qui survivent, cependant, deviennent certains des assassins les plus efficaces à jamais avoir vécus.

"Durant le temps connu sous le nom de l'âge de l'Odieuse paix, à mesure que nous reconstruisions nos force et projetions une prochaine grande offensive contre les elfes dépravés d'Ulthuan, une jeune maibd du temple de Clar Karond pris sur elle-même pour créer une grande arme pour les armées du Roi-Sorcier- une qui inspirerait la terreur aux coeurs de même les plus courageux des guerriers corrompus d'Ulthuan. Prenant un morceau de bois d'if noirci par les buchers sacrificielles de son temple, elle commençat à découper dans sa surface douce et foncée un visage qui l'avait hantée dans ses rêves pendant beaucoup d'années. Je sais pas combien de temps elle a travaillé, mais le jour final du festival de la Récolte des âmes, elle a immergé sa création dans un des derniers vrais chaudrons restants. Caressant le masque, le sang chaud a donné une partie de son énergie magique au vieux bois noirci, l'imprégnant avec la terreur et le désespoir distillés des innombrables innocents sacrifiés. Après un moment, la jeune furie a soulevé le masque du chaudron et a souri au visage de son dieu, le Porteur de Mort. Au cours des siècles, le masque a été récouvert d'or pour préserver sa puissance, mais ses dispositifs sacrés n'ont jamais été changés et il demeure une des reliques les plus saintes du culte de Khaine à ce jour."

-extrait du volume IX des Livres du Sang, par seigneur Furion de Clar Karond

La Panthère de Fer

L'aspect de la Panthère de Fer, le Marcheur du Vide, est un des aspect les plus communes de Khaine que l'on puisse trouver dans les endroits saints de Naggaroth. C'est dans cet aspect que Khaine protège ses enfants, menaçant dans les ombres du Vide de devorer ceux qui osent s'approcher trop près pour sentir sa puissance. Redoutable est la force de ses griffes puissantes car ils déchirent l'âme de sa victime avant de la lancer en l'air, ravageant les restes dans les flux de l'Empyré, là où son cri perçant se perd dans le silence de l'éternité. C'est dans cet aspect que Khaine contrôle les vents de magie et donc est prié de manière fervente par les sorcières et les matriarches quand leurs sectes luttent contre la puissance dans la terre du Froid.

On vénère le Marcheur du Vide dans le silence, dans un effort de s'entourer du vide dans lequel il réside, de s'entourer de sa protection divine. Cet aspect n'est jamais présent durant les festivités et les jours saints de Naggaroth, tous les objets se rapprochant du culte de la Panthère du Vide sont mis de coté jusqu'à la fin des festivités. Ils sont enveloppés dans de nombreuses couches de velour pour les séparer du monde du vivant, pour leur faire autant de vide que possible et assurer de ce fait la protection de la grande divinitée quand cela est nécessaire.

N'importe quel adepte de Khaine qui souhaite suivre cet aspect parmis les milliers de son Dieu doit surtout apprendre l'art de la patience. Toute la commande de ses propres émotions, de la connaissance de quand et où utiliser le plus efficacement les arts de la mort, est une forme de culte en lui-même. Dans cet aspect, Khaine valorise la patience, adroit et implacable marcheur au-dessus du tueur impétueux et irréfléchi. En suivant cet aspect, l'assassin se tient des les ombres, observant silencieusement sa proie de l'obscurité, la tourmentant avec la terreur de l'inconnu et la conduisant lentement vers l'oubli. Il est dit que l'assassin se dévouant à l'aspect de la Panthère de Fer pourra imiter la position réelle de son Dieu et devenir comme une statue, attendant dans le silence et l'ombre jusqu'à ce la victime choisi s'approche assez pour voir bondir sur elle une incarnation vivante de la mort.

Le Seigneur Serpent

Dans son aspect du Seigneur Serpent de la Divine Agonie, Khaine est connu par le nom de Chroesh, le bruit d'un frappement venimeux de serpent.
Aujourd'hui, peu parmis les druchii se livre à sa dévotion. Non seulement les rituels en l'honneur du Dieu-Serpent recquièrent ils beaucoup de douleur pour l'adorateur, mais le nom de cet aspect-culte a été particulièrement marqué par l'association avec le Culte du Plaisir et la vénération interdite de Slaneesh.

L'aspect-culte de Chroesh est encore plus ancien que la race des elfes noirs, né dans les terres de Nagarythe, sous la période d'Aenarion. Morathi, la belle mais néanmoins sinistre épouse du Roi-Phénix, créa plusieurs cultes obscure et ésotérique dans les temps de paix qui suivirent la première défaite du Chaos sur les terres d'Ulthuan. Le plus connu de ces derniers était le culte du Plaisir, en apparence un groupe de poètes, sculpteurs et autres artistes les plus habiles de Nagarythe et des autres royaumes d'Ulthuan, mais en réalité consacrés au culte de Slaanesh. Plusieurs de ces autres cultes, sectes ou couvents de la sorcière ont été consacrés à Khaine. Le Dieu à la Main Sanglante a été tenu en haute estime en ces jours dans tout Ulthuan, et Aenérion lui même était vu comme l'incarnation mortel du Dieu. Il était alors logique que son épouse adore Khaine dans ses nombreux aspects.
[à terminer]

traduit par kormin

Le nuage noir

Morokai se sentit mal à l'aise même lorsqu'il mit le ballot au sol. Malgré ses sens entraînés par une vie de privation, l'ombre sanglante n'arrivait pas à se débarrasser de la sensation d'être observé. Le vent lui glaçait les os et réveillait des souvenirs à demi oubliés. Au-dessus, tes nuages se rassemblaient en tempête, jetant une ombre sur la toundra. Un éclair se réfléchit dans les yeux de l'enfant lorsque l'ombre retira quelques fourrures.
« Ton destin est entre les mains de Kynlhath maintenant. Il nous observe cette nuit. Si tu te montres assez fort, petit, nous nous reverrons à l'aube, lorsque tu recevras un nom et que tu intégreras le clan. »
La foudre tonna et Morokai regarda prudemment par-dessus son épaule vers la forêt de pins i au loin, là où les harpies étaient obligées de se percher à cause de la fureur de la tempête. « Mais, si tu es jugé par Kynlhath et devient l'un de ses enfants, ce sera à la pointe de ma lame que nous nous reverrons ». Sur ces paroles, l'ombre sanglante couvris l'enfant et se retourna, disparaissant silencieusement dans la nuit sans étoiles.
L'aspect du Nuage Noir est l'un des aspects de Khaine les moins communs, car le Temple de Khaine le juge relativement mineur, généralement représenté comme arrière-plan pour les aspects les plus familiers dans les œuvres du temple ou vu comme un bon présage pour avoir une tempête lors de la Nuit des Supplices. Néanmoins, pour 2 groupes de Druchii, Kynlhath, l'aspect du Nuage Noir, est l'un des plus importants.
Le premier de ces groupes est celui des Ombres des Clans du Nord, pour lesquels l'aspect du Nuage Noir est fortement lié à la plus connue de leur tradition, celle qui consiste à laisser les nouveaux nés exposés aux éléments durant une nuit pour s'assurer qu'ils sont assez forts pour survivre et pour faire parti du clan. On dit que ceux qui meurent lors de cette nuit sont pris par Kynlhath et les légendes assurent que leurs voix torturées résonnent dans le vent des tempêtes les plus fortes après leur renaissance en tant que harpie.
Mais cette croyance est réfutée par le Temple, qui croit que les harpies sont les esprits des furies tombées au combat, les cavaliers noirs qui traversent les plaines glacées de Naggaroth en tant que messagers du Roi-Sorcier ont une autre opinion. Ils disent que les harpies se reproduisent seulement lors des plus fortes tempêtes quand elles sont forcées de nicher dans les forêts de pins noirs autour des contreforts du Pic Malveillant. A cause de cette croyance, il y a une forte inimitié entre les clans d'ombres et les harpies - plus forte que ne peut l'expliquer une simple compétition pour la nourriture.
Plusieurs des clans des plaines qui vivent sur les contreforts montagneux chassent traditionnellement les harpies comme une épreuve lors de leur rituel de passage à l'âge adulte ; ceci est l'un des secrets les mieux gardés des ombres car il est habituel pour le chasseur de brûler le cœur de la harpie. Ainsi, il libère l'esprit piégé dans la harpie qui pourra renaître comme Druchii ou qui pourra ajouter sa force à celle du chasseur. Evidemment, le Temple n'approuve pas cette pratique et envoie souvent des agents pour s'occuper des clans qui utilisent ce rituel.
Un second groupe de Druchii - les marins et les corsaires - vénère cet aspect de Khaine pour une raison plus pratique, car les forces de la nature et les tempêtes rythment la vie et la mort de ceux qui voyagent sur les sombres mers du Nord. Cet aspect est souvent représenté sur des tableaux et des objets des navires Druchii sous la forme d'un nuage de tempête dont la partie haute est celle de la forme elfique connue de Khaine. Les marins Druchii savent que la tempête est omnisciente et absolument sans pitié et qu'ils ne peuvent pas survivre à sa colère si elle a choisi de les prendre.

Néanmoins, plusieurs capitaines maintiennent encore l'ancien rituel qui consiste à accrocher un esclave (voire un membre de l'équipage) au grand mât comme sacrifice. Ceci est une mesure désespérée ; lors d'une grosse tempête, tous les bras sont nécessaires sur le pont et la Main de Khaine de l'Aspect du Nuage Noir est un éclair, donc une préparation spéciale du mât est nécessaire pour empêcher que la poigne du Dieu en saisissant la victime du sacrifice n'enflamme le navire en même temps.


Le Grand Exécuteur

L'aspect du Grand Exécuteur apparaît sous la forme d'un grand guerrier Druchii habillé d'une cape flottante de la soie noire la plus fine. La forme se dresse fièrement irradiant d'arrogance, et de supériorité et capable d'éteindre le plus passionné des discours par sa simple présence lorsque toute l'assistance ressent son étreinte glaciale et invisible. Sous la capuche de la cape est un masque de cuivre, représentant un visage d'arrogante et froide perfection.

Le Grand Exécuteur se réserve pour ceux qui ont commis les pires crimes et dont la punition est proche. Apparaissant dans les ténèbres en un instant, l'aspect s'approche de sa proie et, lorsqu'il est à porté de toucher, il libère une terrible plainte, aiguë et assourdissante. Des mots de pouvoir peuvent être entendus dans la cacophonie. Lorsque la terrible plainte atteint son paroxysme, un long glaive se matérialise dans la main de la forme, avec un tranchant dentelé et des runes infernales sculptées le long du manche.

L'apparition dessine alors un Sigil dans l'air - le symbole de l'aspect du Grand Exécuteur. La rune resplendit légèrement avant de disparaître des jours ou des moins plus tard. Lorsque le symbole est dessiné, la forme sépare la tête de sa victime de son corps en un seul coup vif. Pendant un instant, la victime voit à travers les yeux de l'exécuteur, admirant sa propre décapitation. Souvent, un corps sans tête est trouvé gisant dans sa cellule la nuit précédente l'application de sa punition. De la tête de la victime, il n'y a pas de traces.
Le Grand Exécuteur est souvent représenté lors des exécutions publiques et est l'aspect protecteur de la cité d'Har Ganeth et de son régiment d'exécuteurs d'élite. En la présence de cet aspect, une exécution n'est jamais une affaire simple. L'exécution est hautement ritualisée, et est idéalisée dans la société Druchii pour représenter la supériorité de l'exécuteur sur son prisonnier ainsi que la mort par décapitation, la méthode la plus répandue parmis les fidèles de cet aspect.
Les assassins qui suivent l'aspect du Grand Exécuteur n'utilisent jamais leurs talents pour tuer quelqu'un dans les ombres, préférant agir dans la lumière montrer qu'ils ne sont pas effrayés et pour inspirer la peur au cœur de l'ennemi. Ils utilisent souvent des lames de poignet à la place des classiques dagues d'assassin, symbolisant le lien entre l'ancien glaive à deux mains et le Draïch qui en dérive.

Le Vengeur

Faeldineth fut terrorisé par la sombre profondeur des yeux de son adversaire, sa lame résonna sur le sol lorsqu'il reconnut le visage. Il le connaissait - le visage hantait ses rêves depuis la destruction d'Anlec - mais il n'arrivait pas à le reconnaître.
Le soleil apparut derrière les nuages, un rayon de soleil traversa le brouillard et se réfléchit sur le masque métallique. Faeldineth tomba à genoux. Le visage ensanglanté n'était pas celui d'un guerrier rencontré au combat, ni celui d'une sorcière commandant l'armée de ses cousins haïs.
C'était celui d'un des enfants, de tous les enfants, les jeunes et les vieux. C'étaient les figures de tous ceux qui avaient été capturés et exécutés lorsque Faeldnith et ses compagnons avaient essayé de débarrasser leur chère île de la souillure des Druchii. « Qu’Isha nous pardonne » cria-t-il lorsque la lame du Roi-Sorcier frappa, séparant la tête de l'Asur de son corps.

L'Aspect du Vengeur est l'un des plus importants de la culture Druchii, car c'est la raison pour laquelle Khaine est leur dieu. Malgré cela, c'est l'un des aspects reconnus par tous les Elfes. Les Elfes pensent qu'il doit être vu par l'ennemi pour que le dieu soit capable d'agir à travers le guerrier, transformant le plus humble fermier ou artisan en une force impossible à arrêter ointe du sang d'un innocent ou d'un allié.
C'est dans ce cas que le Vengeur est le plus souvent représenté dans l'art, généralement grâce à un triptyque. Le premier panneau montre l'acte réclamant vengeance ; le second montre l'Elu s'oignant du sang du tombé ; la troisième et dernière scène montre le guerrier transformé en l'incarnation de Khaine, rendant justice avec le sang de l'ennemi. Les 2 œuvres traditionnelles les plus célèbres sont exposées dans le Grand Temple de Naggarond. La première montre Aenarion retirant l'Epée de Khaine et sa transformation en l'incarnation de Khaine. Le second, couvrant tout le plafond du Grand Temple, montre la naissance des Druchii le peuple élu de Khaine, naissant du sang versé par les faux Rois Phénix et se dressant en armes, prêt à réclamer leur terre natale.
A une échelle moindre, l'aspect est invoqué aussi bien par les guerriers de Naggaroth que d'Ulthuan. Les camarades d'une même unité s'entaillent les paumes la nuit précédente la bataille, jurant de venger leurs ancêtres et demandant que, s'ils tombaient au combat, leurs compagnons tiennent leur promesse dans le sang de leurs ennemis.
Communément, les nobles et chevaliers Druchii (qui n'ont pas l'habitude de rencontrer sur le champ de bataille l'un de leur égaux) ont l'habitude de se blesser et d'ensanglanter un petit miroir qui est suspendu parmi les crochets et les charmes de leur armure. La cuirasse de l'armure du Roi-Sorcier est souvent polie comme un miroir et traitée de la même manière, représentant son rôle de premier parmi les élus et de vengeur des plus grands crimes.
Plutôt que vengeant une cause spécifique, ceci représente le redressement d'un crime personnel commis par un ennemi connu d'eux seul et il est souvent rapporté que l'ennemi comprend et accepte le jugement, abaissant ses armes au dernier moment avant l'attaque. Bien sûr, les moins croyants parmi les Druchii mettent ceci sur le compte de l'éblouissement dû au miroir, bien qu'ils utilisent malgré tout le rituel du sang. Lorsque l'on agit en tant que bras vengeur d'un dieu, il vaut mieux ne pas faire quelque chose qui pourrait le mettre en colère.


Traduit par ahridan

Les aspects de Khaine
Khaela Mensha Khaine, le dieu à la main sanglante, est l’incarnation de toute haine, malice et envie de sang inhérentes à la psychologie brillante et pourtant défectueuse des elfes. Les elfes noirs, beaucoup plus que leurs cousins d'Ulthuan et d’Athel Loren, se consacrent à une telle myriade de cruautés et d’inventions obscures qu’une seule divinité ne peut contenir ces créations du warp. Ainsi Khaine représente milles aspects, chacun ayant une personnification unique du meurtre. Nous allons étudier ici trois des visages les plus infâmes du dieu à la main sanglante…

Le Prédateur ailé
La beauté d’une harpie est la beauté de la mort. Son chant de sirène leurre ses victimes avec des visions d’un bonheur reposant. Elle attaque par surprise, fondant sur sa proie toute désignée, portée par son vol rapide et silencieux. Sa caresse sensible apporte à sa proie une douleur exquise et la douceur de l’oubli. Craignez la harpie et adorez-la, parce qu’elle est la servante de notre dieu.
Le tome noir. Chapitre XIX, vers 7


La mort peut venir lentement, comme un déclin progressif dût à la maladie et à l’affaiblissement. Mais elle peut également venir très vite, sans avertir, comme la plongée d’un oiseau de proie… Pour les elfes, particulièrement ceux de Naggaroth, Khaine représente dans la plupart de ses aspects toutes les formes de mort imaginables. Sous la forme d’un prédateur ailé, il est la mort venant du ciel irrépressiblement, emmenant au loin l’âme de la victime dans un clignement d’œil, qu’importe où cette dernière puisse essayer de se cacher. Le prédateur ailé est souvent dépeint comme un faucon ou une grande chauve-souris noire, mais sa véritable forme serait la harpie. Les elfes connaissent les harpies depuis des temps immémoriaux. Il est dit qu’Aenarion massacra Arheibadb (lit. ‘Reine des Ombres’), la mère de toutes les harpies, sur l’île blafarde, comme à son habitude lorsqu’il maniait l’épée de Khaine (béni soit-il). Après que l’épée ait été retirée, les filles d’Arheibadb, s’étant retournées contre leurs parents démoniaques, servirent loyalement Aenarion jusqu’à sa mort. On trouve encore aujourd’hui des harpies dans les crêtes des montagnes de l’Anulii en Ulthuan, et quelques colonies isolées existent dans le vieux monde, mais c’est dans les cieux surplombant le port des esclaves Druchii de Karond Kar qu’elles sont le plus présentes. Nichées dans les tours et les beffrois des temples de Khaine, elles en émergent au crépuscule pour attaquer ceux qui osent s’aventurer dans les rues de la cité durant la nuit. Les seuls druchii sachant attirer leur attention, sont les sorcières et les assassins, que les harpies n’attaqueront jamais, peut être parce qu’elles les reconnaissent comme des camarades serviteurs de Khaine. En dépit des dangers qu’elles posent aux citoyens de Karond Kar, les harpies sont considérées comme une bénédiction de Khaine, essentielles à la survie de la ville. Tuer une harpie à n’importe quel endroit visible depuis Karond Kar, même dans l’art de l’autodéfense, est un crime punissable de mort.


Le Kinslayer[pour l'instant= le tueur de parents]

Le Kinslayer apparaît comme un guerrier Druchii, drapé dans de longues robes noires qui brûlent d’un feu rouge désséché. Il utilise un Drannach - l'arme traditionnelle d'un guerrier de l’antique Nagarythe - dont la lame dégouline du sang de ses parents. Dans ses yeux brûle la haine et l'animosité qui explose entre elfes et elfes, en particulier entre Druchii et Asur. Il est invoqué et alimenté par la haine pure des Druchii et, bien qu’il ne revête pas une forme physique pour ses victimes, il prend possession des elfes noirs qui l’ont appelé et leur laisse une image du kinslayer les précédant au combat et assassinant leurs ennemis. Le guerrier affecté cède le contrôle de son corps à Khaine, tombant en transe pendant que la haine pure guide son corps avec une telle précision et une telle vitesse seul les meilleurs épéistes pourraient survivre à son impact.
[en cours]

Code:

Le Kinslayer est aveugle parmi des Elfes comme si il désire apporter une extrémité sanglante à la course entière. Une fois que la haine d'un guerrier a donné la commande de leur corps au Kinslayer, quelque chose en vue devient une cible : Druchii, Asur ou leurs cousins d'arbre-logement de wayward. C'est pour cette raison qu'un certain Druchii croient que daemonsoul de Malus Darkblade est en effet le Kinslayer et que le nouveau seigneur de la sorcière Graef a trouvé une manière de lâcher sa puissance avec un breuvage magique. Aucun doute, seigneur Darkblade lui-même n'est heureux de stimuler de telles rumeurs, parce que on le considère un grand honneur parmi le Druchii à choisir par Khaine comme navire mortel de sa puissance foncée. Détester foncé d'Elf de leurs hauts frères d'Elf est bien connu pour intensifier leur férocité et force de volonté dans la bataille. C'est cette haine toujours croissante, cultivée au cours des années dans la société de Druchii et démontrée à plusieurs reprises sur les champs de bataille de Naggaroth et d'Ulthuan, qui a attrapé l'attention de Khaela Mensha Khaine et a fait se manifester un aspect pour alimenter d'un affichage si intensifié d'émotion. Avant une bataille avec l'Asur - ou même avec l'autre Druchii, parce que de tels conflits fratricides soyez loin de rare dans Naggaroth - les guerriers foncés d'Elf souvent feront des offres au Kinslayer et méditeront dans l'aspiration de se lever à un niveau de haine qui pourrait appeler la puissance de l'aspect de les faciliter dans le meurtre leurs ennemis dédaignés. Le Kinslayer est un allié puissant, mais déloyal. Quand l'aspect vient à l'aide des Elfes foncés contre leurs parents mal orientés, il est toujours au coût de beaucoup de vies de Druchii.

Traduit par Tulekil