[RoleP]Un glas dans les montagnes

[hrp] Sorry Grom' ! J'avais pas la motiv' pour poster, et j'ai complètement zaapé qu'on me parlait


Tout ce qui avait suivi l'explication du vieillard était désordre, le nain qui fait un serment, les embrouilles internes, les petits secrets.

Décidément cette mission de sauvetage est mal barré... Espérons que le reste se passe bien...

Le marchand nain avait demandé qu'il lui conte son histoire avec les skavens, Stig avait fait mine de l'ignorer pour éviter le sujet le temps que la bande se remette en route. Et à peine le Chevalier avait il quitté la tour que des loups attaquèrent.

Profitant de l'occasion, Stig pris parti de répondre au nain seulement maintenant.

-"Désolé Messire Brunkni, j'étais dans mes pensées, mais on dirait que l'histoire de ma vie devra attendre un moment !"

Stig chargea son pistolet à poudre pour pouvoir aider les autres dès que possible.

Falko détailla la pièce du regard, mais n'y vit rien de plus que lorsqu'il y était entré. Même à l'intérieur de l'armoire, il n'y avait qu'un morceau de pain rassis et deux ou trois baies comestibles placée sur une étagère à mi-hauteur, ainsi qu'une pélerine de toile inutilisable. Néanmoins, au bas du meuble se trouvait un épais volume relié, à la couverture nue et sans titre. Les pages étaient écrites dans une langue inconnue, mais il y avait quelques annotations lisibles dans les marges. Sur la première page en particulier, une inscription figurait en dessous du titre incompréhensible: "Kavzarr, mythe ou réalité: analyse compléte de la légende de la ville disparue" suivie d'une annotation en gras: "À ne pas mettre en n'importe quelles mains".

Falko prit le livre et le glissa dans sa sacoche.

Ceci pourrait nous être utile... Tant pis pour les herbes, j'en trouverait surement dans la forêt.

Puis il sortit de la tour et fit surpris par le groupe qui s’apprêtait à affronter quatre immenses loups. Aldred était déjà aux prises avec le premier tandis que le nain dégainait son arme pour s'attaquer à ceux qui étaient apparus sur leur flanc. Le marchand, un peux en retrait était occupé à apprêter son arme.

Même dans les forêts les plus reculées de bretonnie, je ne pense pas qu'il y ait de bêtes aussi énormes!

Le jeune bretonnien dégaina son épée et se plaça aux côtés de Brunkni pour affronter les bêtes.


Falko fait une Action Spéciale de Combat : S'adapter.

[hrp: ceux qui n'on pas donné leur posture de combat sont de base en position "s'adapter!" et utilisent leurs armes de corps à corps]

Alors que le chevalier affrontait le premier loup, le second s'approchait de Lucius et Brunkni. Alors que ce dernier levait sa hache, la bête se jeta sur lui toutes griffes dehors. Le nain l'arrêta d'un revers qui traça une longue plaie sur le buste du loup, mais celui-ci semblait prêt à reprendre le combat, jusqu'à ce que Lucius profite de l'occasion pour enfoncer sa rapière dans le coup de l'énorme animal, qui s'effondra lourdement au sol.

Cette victoire ne parut pas affecter les autres loups, car le combat continuait férocement aux alentours. Falko s'attaqua au troisième loup, le plus proche de lui, alors que celui-ci bondissait sur Stig. Le marchand tira sur son agresseur et l'atteignit, mais le monstre retomba sur lui, l'écrasant et provoquant un sinistre craquement au niveau de sa jambe gauche avant de se relever lentement et de faire face à son nouvel agresseur. Falko esquiva le coup de griffes et tailla un sillon sanglant dans son poitrail. La bête semblait toujours hargneuse malgré ses blessures, mais ne tarda guère à tomber au sol, mortellement blessé. Le quatrième animal attaqua le répurgateur mais ne parvint à l'atteindre et fut blessé d'un coup d'épée au flanc.

Le przmier loup combattait toujours Aldred, qui l'envoya valser d'un revers de l'épée. Mais alors que celui-ci baissait sa garde, la bête se releva brusquement et bondit, mordant sauvagement le bras droit du chevalier qui cria de douleur avant de se dégager.

Juste à côté, un cinquième loup attaquait Naeja et Geralt. Il s'en prit d'abord au vieil homme, qui para miraculeusement an l'aide de son bâton de voyage, et le frappa violemment à la tête. La bête, éyourdie, bondit largement à côté de Geralt, mais se retrouva face à Naeja.

La jeune femme tenta de planter son poignard dans l'épaisse fourrure de la bête, mais elle le rata et un coup de griffes au visage la mit à terre.

Trois loups restaient en lice, toujours combattifs malgré leurs blessures. Mais alors qu'ils se préparaient à contre-attaquer, un bruit formidable se fit entendre, le même que la veille, venant des montagnes. Il était bien plus fort ici, et des parois de Pierre semblaient se fracasser l'une contre l'autre, mélées à un bruit de cuivre qui semblait faire taire tout autre son tant il résonnait et résonnait. Dés les premier coups, les loups restant s'enfuirent à toutes jambes vers le côté opposé des montagnes.
Aldred voulut parler mais il n'entendait même pas sa propre voix. Puis, au bout d'une attente qui semblait interminable, le glas assourdissant s'interrompit, prolongeant longuement sa dernière note puissante et lugubre à des lieues à la ronde.

Surprise, c'était le mots qui définissait le mieux l'état dans lequel la jeune fille s'était retrouvée après que le loup, qui s'en prenait au vieillard, fit un bon pour se retrouver juste devant elle.
Instinctivement elle avait tenté de planter sa dague dans l’encolure de la bête mais cette dernière avait esquivé puis, d'un coup de patte violent la mit à terre.

Voyant sa dernière heure sonnée l'Arabienne avait mis son bras gauche devant son cou pour empêche le loup de la mordre à la gorge, mais elle aurait bien pu se passer de cette réaction car au même moment le bruit formidable du glas qui résonnait de temps à autres retentit tellement fort que les loup prirent la fuite sans demander leur reste.

Après un long moment d'attente le boucan assourdissant du glas s'estompa et la jeune femme se redressa avant de se rendre compte que du sang obstruait le côté droit de sa vision. Elle se rendit alors compte que lorsque la bête l'avait attaqué plus tôt, elle lui avait lacéré le visage de ses griffes.

La jeune femme palpa alors son visage pour déterminer la gravité de ses blessures.

Falko s'attaqua au troisième loup, le plus proche de lui, alors que celui-ci bondissait sur Stig. Le marchand tira sur son agresseur et l'atteignit, mais le monstre retomba sur lui, l'écrasant et provoquant un sinistre craquement au niveau de sa jambe gauche avant de se relever lentement et de faire face à son nouvel agresseur. Falko esquiva le coup de griffes et tailla un sillon sanglant dans son poitrail. La bête semblait toujours hargneuse malgré ses blessures, mais ne tarda guère à tomber au sol, mortellement blessé. Le bretonnien en profita pour souffler un peu et regarder autour de lui.

Juste à côté, un cinquième loup attaquait Naeja et Geralt. Il s'en prit d'abord au vieil homme, qui para miraculeusement an l'aide de son bâton de voyage, et le frappa violemment à la tête. La bête, étourdie, bondit largement à côté de Geralt, mais se retrouva face à Naeja. La jeune femme tenta de planter son poignard dans l'épaisse fourrure de la bête, mais elle le rata et un coup de griffes au visage la mit à terre. Le sang de Falko ne fit qu'un et tour et le jeune homme se précipita vers elle.

Autour de lui, trois loups restaient en lice, toujours combatifs malgré leurs blessures. Mais alors qu'ils se préparaient à contre-attaquer, un bruit formidable se fit entendre, le même que la veille, venant des montagnes. Il était bien plus fort ici, et des parois de Pierre semblaient se fracasser l'une contre l'autre, mélées à un bruit de cuivre qui semblait faire taire tout autre son tant il résonnait et résonnait. Dès les premier coups, les loups restant s'enfuirent à toutes jambes vers le côté opposé des montagnes. Puis, au bout d'une attente qui semblait interminable, le glas assourdissant s'interrompit, prolongeant longuement sa dernière note puissante et lugubre à des lieues à la ronde.

Falko se rapprocha de l'arabienne et regarda ses blessures.

Aldred se remit debout, tenant fermement son bras endoloris. A quelques pas gisait le marchand, apparemment à moitié assommé, ainsi que Falko qui examinait les blessures de Naeja. Celle-ci avait écopé d'un violent coup de griffe sur le côté droit, et deux sillons sanglants étaient tracés dans sa joue. Heureusement, la patte du loup ne l'avait que jeté à terre et, hormis ces blessures, elle était indemne. Le reste du groupe se rassemblait peu à peu autour d'eux, Stig légèrement en retrait du fait de sa blessure à la jambe. Le chevalier remit son épée au fourreau, gêné par son bras meurtri.

Lorsque chacun fut prêt et remis de l'attaque, ils se dirigèrent à l'intérieur de la forêt. Les arbres y étaient plus espacés qu'avant, mais le tapis de buissons, de ronces et autres plantes hautes masquaient toujours leurs pas, recouvrant le sol d'un océan vert sombre, brun et noir.

S'envuivit un parcours sans autres embuches que les trous et obstacles invisibles à l’œil. Alors qu'ils approchaient des montagnes, un rugissement terrifiant se fit entendre, long et sonore.

Étrangement, Aldred ne ressentit pas d'angoisse particulière lorsqu'il retentit. Probablement parce que le glas s'était manifesté il y a peu, et que le hurlement d'une bête sauvage n'était rien face à l'horreur qu'inspirait l'étrange son venu des Monts du Milieu.
Mais lorsqu'il écarta largement les broussailles qui à cet endroit le dépassaient d'une tête, il révisa son jugement, et les écarta encore un peu plus pour que les autres puissent voir.

Derrière le mur de végétation se tenait une sorte de petite place, agrémentée de fortifications en ruine, notamment les restes de quatre massives tours de pierre qui la gardaient. Au fond de la place, deux autres tours en meilleure état encadraient une arche. Autrefois, celle-ci avait dut abriter une porte, mais désormais ce n'était qu'un amas de rochers en désordre qui scellait l'entrée.

Mais surtout, adossé contre la parois et retenu par d'énormes chaines de fer aux poignets et aux chevilles, se tenait une bête gigantesque, ses muscles saillants recouverts de fourrure brune. Des deux côtés de sa tête cornue brillaient deux yeux d'un blanc laiteux. Le monstre tirait sur ses chaines, grognant comme un démon.

Au dessus de sa tête, sur une fragile corniche de pierre retenue par une corde, deux silhouettes qui n'avaient rien d'humaines observaient le spectacle, non sans reculer légèrement à chaque soubresaut du captif.
Quelques instants plus tard, un groupe de cinq ou six autres sortit des bois loin de la position des aventuriers. Traversant la place en trottinant sur leurs courtes pattes, ils ralentirent en s'approchant de la bête et, silencieusement, se glissèrent dans une faille dans l'éboulis de la porte, entre les jambes massives.