Eh bien on dirait que cela ne ce remarque pas section ES alors je le met ici;déjà publier sur malefosse par moi même (nooon ^^)
Le convoi continuait sa route en cahotant sur le chemin renversant un peu de son précieux chargement sur la route, ramassé hâtivement par les gardes du convoi, la malepierre étant trop précieuse pour être abandonnée sur une route poussièreuse.
Malgré tous ses dérangements les hommes-rats continuaient leur route ne se doutant pas que de nombreuses paires d’yeux les observaient à l’abri, dans la forêt broussailleuse qui bordait la route. Les skavens avançaient d'un pas un peu plus rapide depuis leur entrée dans la forêt de peur que leur précieux chargement soit pris en embuscade.
Soudain un sifflement aigu fendit l’air…le skaven qui était en tête du cortège s’affaissa se pliant de douleur il tomba face contre terre émettant un unique gargouillement immonde. Le reste de la troupe se retourna prêt à combattre mais il était déjà trop tard.
Une dizaine d’Asraï jaillit des fourrés l’arme à la main. Deux autres traits en provenance des fourrés abattirent deux autres hommes rats. Le chef du cortège fulminait de rage il sauta à la gorge d’un elfe sylvain dans un acte de folie propre aux gens de sa race.
Le combat fut de courte durée, les Asraï après avoir échangé quelques passes d’armes, avec les skavens malhabiles qui constituaient l’arrière garde du cortège, les achevèrent leur perforant le ventre à grand renfort d’estoc de leurs lames enchantées. Le combat finit ils reportèrent leur attention sur le chef skavens qui continuait son combat
Le chef du convoi quand à lui dans sa fureur réussit à abattre son adversaire, ne lui laissant aucun répit les Elfes Sylvains lui bondirent dessus. Encerclé le skavens fut vite désarmé et jeté à terre. Un des elfes présent appuya son pied contre son dos, le forçant à rester face contre terre
Le souffle court le skaven poussait des couinements de douleur lorsque le bruit d'un pas le fit lever la tête…Un elfe grand, mince et élancé un arc en bandoulière se dressait de toute sa hauteur devant lui. Se mettant à genoux l’Asraï dégaina une dague et l’approcha doucement du coup de sa victime :
« Ainsi périssent tous ceux qui pénètrent en Athel Loren ! » dit-il d’une voix sourde qui sonnait le glas de l’existence de la chose-rat.
Il trancha lestement la carotide de sa victime dont le sang venait souiller les feuilles mortes étalées pauvrement sur le chemin, sa misérable existence venait de prendre fin.
Ceci est une nouvelle donc pas de suite.Des commentaires svp merci.
Enirian