Et il vit... soudain une chose molle, lourde tomber devant lui, sur le sol crasseux, humide et froid.
Cette irruption dans ses mornes activités l'inrigua plus que ne l'irrita. S'approchant doucement de la chose tombée, essayant de rester prudent en dépit de la curiosité qui le tenaillait, il vit apparaitre dans la maigre lumière un corps mutilé...
Enhardi par l'immobilité de l'etre affalé devant lui, il s'approcha de l'intrus et agitant ses longues moustaches entreprit de l'examiner plus attentivement... lorsque soudain la lumière d'une torche s'approcha et que des bruits de voix se firent entendre. Il décidat de battre retraite au moment ou la porte s'ouvrait...
Et il vit... l'asur dans sa crasse, et un immense dégout pour ceux qui les avaient exilés, lui et les siens...
Il fixa la torche dans son receptacle et posa ses instruments sur la table prévu à cet effet, et se mit à rallumer le brasero, et y plonger des tisonniers de divers tailles et aux formes variées mais rappelant toutes la forme désagréable du crochet...
Il pris brutalemment le corps encore en vit, le fixa sur sa chaise et entrprit de le reveiller, et c'est alors alors qu'il aperçut de petits yeux briller dans un coin de la salle, il lui lança une poignée de braise de sa main gantée et étouffa un rire en entendant les couinements du rat, et soudain l'asur poussa un râle...
Et il vit... le druchii habillé de violet, ses mains dures et gantées dans lesquelles sa vie reposait à présent et ne put s'empécher de pousser un râle.
Ayant attiré l'attention de son tortionnaire, il vit apparaitre sur son visage l'expression de la violence et de la haine. Sachant ce qui l'attendait, il ferma les yeux et songea une dernière foi à ce qu'il avait perdu... sa terre, ses amis, sa famille, ses reves, et toute joie est désormais bannie de ce qui lui reste de vie et de pensée, avant que la douleur ne s'installe et le ramène à l'etat de bete sauvage, dont la seule préoccupation devient la fin de cette souffrance...
Et lorsque son corps mutilé lui fut montré, en dernière torture devant ce qui avait été empreint de tant de beauté, il demanda grace, et qu'on lui prive de ce don que l'on dvrait appeler malédiction, et qui l'avait tant fais souffrir, et pour la dernière fois de sa vie, avant que l'obscurité ne le prenne, il vit le druchii rire, et un fer chauffé à blanc s'approcher de ses orbites...