[RoleP] Intrigues à Clar Karond

A mon serviteur :
"Corbus, reste avec nous. Ce qui s'est passé ce matin m'incite à rester très prudent."

J'entre en te précédent dans la bibliothèque et m'assois à un des bureaux de lecture.
Et bien cher amis, voilà que vous m'intriguez. Vous arrivez juste de Naggarond pour ce vote alors que nous ne svaons rien de vous...
Je croise les jambes et pose un regard curieux sur toi en battant abondament des paupières.

Oui, je sais certaine choses sur la mort du Drachau, les voici:
Il paraitrait que c'est le nobliau de Naggarond qui aurait commanditer son assassina en faisant appel à un exécuteur de Har Ganeth. Et out ceci est fort probable, il arrive ici par après, personne ne sait rien de ses intentions et il à déjà une place au conseil alors que personne ne le connait.
Concernant le père du Drachau, je peux vous en parler, mais en échange je voudrais vous proposez un marché, je vous donne ma voix et je vous dit ce que je sais et en échange vous vous arrangez pour me nommer commandant des forces armée de Clar Karond, et j'ai déjà réussi à avoir le soutien d'un conseiller, ma voix à donc encore plus d'importance. Quand pensez-vous?? Moi la place de Drachau ne m'intéresse pas énormément.

Je reste debout face à toi.

Citation :

Et bien cher ami, voilà que vous m'intriguez. Vous arrivez juste de Naggarond pour ce vote alors que nous ne savons rien de vous...

"Hehe, je ne suis pas sûr moi même d'en savoir plus sur vous même. Permettez que chacun ait ses petits secrets.

J'ai cru comprendre que vous étiez très liée à feu le Drachau. Vous devez être très triste de sa mort, je suppose."

Je termine ma tirade sur un sourire mi-figue mi-raisin.

Je fronce les sourcils.
"Vous me voyez un peu surpris, mon cher. Par ce que vous me dîtes, et par le fait que vous semblez en savoir autant, alors que, ce me semble, vous venez d'arriver."

"D'autre part, ce que vous me racontez est troublant. Vous dîtes que Korith aurait fait assassiner Sombrecoeur... J'avoue que cela ne m'étonnes qu'à moitié vu le fort penchant pour la violence de son suivant... Pourtant, j'étais en Ulthuan avec le Drachau et ce dernier est mort suite à ses blessures acquises au champ d'honneur. Qui donc vous a communiqué ces informations ?"


"Pour ce qui est de votre arrangement, vous briguez le poste de commandant des armées, mais sachez que c'est le Drachau qui les commande avant tout. Vous voulez donc parler du titre de maître de guerre, qui est le commandant en second ?
Si c'est cela, je peux effectivement vous l'accorder, si toutefois je deviens le nouveau Drachau."

Je tiens mes sources d'une personne digne de confiance dont je ne peux parler, mais sachez que ces informations sont des plus correctes, le Drachau est effectivement décédé de blessure due non pas a une lame elfique mais a une lame Drcuhii de la caste des exécuteurs, il suffisait de blesser le Drachau au moment opportun et de faire passer ses blessure comme des blessure infligées par l'ennemi.
Et si vous accepter de me propulser au rang de maître de guerre dans le cas seul ou vous deviendriez Drachau, je met ma voix à votre service.
Concernant le père du Drachau, il se pose lui même des questions quand à la mort de son fils, ce qui pour vous est un atouts de taille, vous pourriez essayer de négocier avec lui en échange de quelques informations. Mon sbire à surpris une conversation entre Kurtis Koban et le seigneur Khern, qui lui à donner sa voix au conseil, car il sait qu'il n'a que peut de chance d'être élu, il préfère donc assurer ses arrières en promettant en échange de quelques rétributions financières, de donner sa voix au service du plus offrant.
Je me ressert un coup de cet excellent vin en te souriant.

Je prend un air attristée et regarde évasivement dehors.
Il est vrai que Clar Karond perd un grand Drachau et je suis d'autant plus touché que je suis...j'étais sa femme.
Je repose mon regard sur toi.
Alors que vous faites un peu intrus dans ce conseil. Aussi vite arrivé, que vous voulez briguez le poste de feu mon mari. Je trouve cela louche...

Je me prend le visage dans les mains pendant quelques secondes, puis adopte une expression affichant une froide détermination.
"Si ce que vous dîtes est vrai, alors notre race est encore plus pervertie que je ne le pensais."

Je me lève et me mets à déambuler dans la pièce.
"Est-ce que vous vous rendez compte que le frère frappe le frère en pleine guerre contre Ulthuan ? Je veux dire, comment pourrons nous un jour reprendre nos terres et régner dessus si nous nous entredéchirons constamment ? Je conçois que notre société soit fondée sur la loi du plus fort, c'est un gage d'efficacité martiale. Sauf si cela se transforme en guerre permanente pour le pouvoir, auquel cas l'ennemi est tout simplement délaissé au profit de l'entre-déchirement.
Des évènements comme celui-ci causent la mort de nos soldats, pour une lutte concernant un pouvoir à des centaines de lieux de là."

Je m'arrête et regarde le corsaire.
"Je crains que l'histoire sur la mort du Drachau ne s'arrête pas là. J'ai d'autres éléments que je vous révèlerai en temps voulu."

"Quant au poste de Maître de guerre, il est à vous si votre voix est mienne et si je suis élu."

Je caresse la garde d'une des épées qui me bat le flanc.
"Je pense que nous devons énormément nous méfier de ce Deathshade de Naggaroth. Je crains que son sbire soit un tueur entraîné. Et sans doute que lui-même manie bien la lame.
Prévenez moi si jamais vous pensez qu'il risque de passer à l'action."


Je recommence à faire les cent pas quelques temps puis m'arrête et demande :
"Pensez-vous qu'Aluzzen soit lié à la mort du Drachau ? Après tout, il fricote avec les exécuteurs..."

Bien pire, Je sais que Aluzzen est un homme qui aime la guerre, et je ne serait par surpris que ce soit le nobliau qui aie demander à Aluzzen de préparer le complot contre le Drachau, pour une raison que j'ignore mais je suis certain qu'il n'ait pas blanchi de cette affaire.
Sachez que ma voix vous est offerte.
Quand au sbire du nobliau, je m'en méfie grandement, je l'ai surpris à essayer de poignarder une servante à travers une porte en bois.

Citation :

Quand au sbire du nobliau, je m'en méfie grandement, je l'ai surpris à essayer de poignarder une servante à travers une porte en bois.

Je ricane.
"Certes, j'étais dans la pièce de l'autre côté de la porte avec lui. Effectivement, l'animal est plutôt vif, et s'emporte vite."

"Bien, tâchons donc de nous renseigner sur Aluzzen. Faites moi part de ce que vous apprendrez sur lui, si vous le voulez bien."

Je jette un regard interrogateur au corsaire :
"Avez-vous d'autres informations à me communiquer ou d'autres souhaits ?"

Je vais tâcher de me renseigner sur Alluzen dans ce cas.
Je crois que je vous ai tous dit.
Bonsoir seigneur
Je me lève et me dirige vers la porte d'un pas lent au cas ou tu devrais me dire un dernier truc.

Citation :

Alors que vous faites un peu intrus dans ce conseil. Aussi vite arrivé, que vous voulez briguez le poste de feu mon mari. Je trouve cela louche...

Je te regarde droit dans les yeux.

Qui vous a dit que je briguais le poste du Drachau? Je ne suis peut être qu'un ... spectateur, une voix supplémentaire. Mais bon, on m'avait bien dit que vous n'aviez pas la carrure pour la politique.

J'achève ceci avec un sourire sacarstique.

Je prend un sourire malsain.
Voilà donc une réponse bancale pour vous défendre. Qu'apporterais votre personne et votre vote si vous ne désirez être élu ? La zizanie ?
Quant à votre dénigrement sur mes aptitudes en politique, cela semble fort encore à un préjugé du fait de mon rang et de mon sexe.
Je vous imaginais plus habile.

"Je m'en vais de ce pas pour en savoir plus également.
J'espère pour vous que tout ce que vous m'avez dit n'est pas une invention de votre cru. Avant notre rencontre, je ne pensais pas trouver un allié en votre personne.

A plus tard, Lilaeth."

Je quitte la pièce après avoir salué le corsaire.

Que peut-on faire exactement une fois un entretien terminé ?

Recevoir les infos de ton sbire (mais là je suis à la bourre xD), et commencer une discussion avec les membres qui terminent également en avance. Le bon plan peut par exemple être de dire à quelqu'un de sortir en avance, pour être sûr de pouvoir discuter avec lui (ou elle) durant le tour.

Voilà donc une réponse bancale pour vous défendre. Qu'apporterais votre personne et votre vote si vous ne désirez être élu ? La zizanie ?

Disons que j'ai été appelé à l'aide pour faire basculer la balance en faveur d'une personne ... mais que je peux changer d'avis à tout moment.

Quant à votre dénigrement sur mes aptitudes en politique, cela semble fort encore à un préjugé du fait de mon rang et de mon sexe.
Je vous imaginais plus habile.

Sachez que j'emploi plus de femmes que vous ne le pensez. Ce n'est pas un préjugé, c'est ce qui m'a été dit lors de mon entrevue précédente. Attachez vous à me démontrer le contraire.

J'éclate de rire.
Ah, Ah, Ah ! Qui peut donc être assez bête pour faire une pareille bévue ? Je ne sais qui a fait appel à vous mais, à votre place, je ne le soutiendrais pas : quelqu'un d'aussi peu sûr de ses propres talents de politicien contre une si petite assemblée ne saurait gouverner correctement devant toute une ville.
Concernant ma "faible" carrure de politicienne, ce n'est qu'une manière bien faible de réduire mes chances de la part de Lucius. Nous verrons bien...
Je lance un sourire malin.

Je m'assois : Eh bien, prenez place. J'aurais quelques questions, mais je pense qu'un peu d'alcool nous aiderait à réfléchir. Ne prêtez pas attention à mon larbin, il n'est là que pour éviter les oreilles indiscrètes...

Aux serviteurs : Servez donc le vin que j'ai fait préparé, s'il vous plaît. Et n'en perdez pas une goutte, il serait fâcheux pour vous de me déplaire...

Ah, Ah, Ah ! Qui peut donc être assez bête pour faire une pareille bévue ? Je ne sais qui a fait appel à vous mais, à votre place, je ne le soutiendrais pas : quelqu'un d'aussi peu sûr de ses propres talents de politicien contre une si petite assemblée ne saurait gouverner correctement devant toute une ville.

C'est bien ce que je pense, c'est pour cela que j'ai dit que j'étais prêt à ... disons ... porter mon appui sur quelqu'un d'autre, si cette personne avait des choses intéressantes à me proposer. Après tout, je ne suis pas sûr d'apprécier mon "commanditaire", et je n'aime pas travailler avec des gens faibles et veules.

Concernant ma "faible" carrure de politicienne, ce n'est qu'une manière bien faible de réduire mes chances de la part de Lucius. Nous verrons bien...

Je ne demande que ça.

Je fini sur un sourire et une petite courbette.

mais il me semble que nos intérêts exigent que nous passions outre.
Je souris.

la mort du Drachau n'est pas de votre fait. J'ose espérer que vous en viendrez aux mêmes conclusions que moi.
J'acquiesce.

Votre fortune et votre talent, qui s'ajoutent certes à votre illustre ascendance, font parler d'eux, comme la manière dont vous vous êtes taillé votre place dans la Cité. Néanmoins, je crois savoir que vos affaires ne sont pas dans le meilleur état et que de l'aide ne vous serait pas superflue...
Je fronce les sourcils dès le début des louanges, méfiante. Je me renfrogne carrément lorsque Kern parle de mes finances.

[A propos d'Aluzzen] Tout honorable et fiable qu'il soit, ses intérêts sont avant tout militaires ; ne pas honorer une dette en temps utile est peu élégant mais il faut le comprendre. Toutefois, si vous le souhaitez et en preuve d'amitié, je peux vous rembourser cette dette moi-même ; cela vous sortirait d'affaire et vous assurerait que je ne vous joue pas un mauvais tour.
Je ne serais pas aussi certain que vous de son intégrité. Aluzzen nous cache des choses, et j'ai depuis la conversation que vous avez ... hum ... faite entendre par inadvertance à votre suivante, appris que les fonds que j'avais avancer à Aluzzen ne sont pas partis à la Guerre. A moins, bien sûr, que le Temple y ai mener ses contingents ; mais alors Aluzzen n'aurait pas eu à s'investir, puisqu'il ne s'agissait pas de troupes sous sa tutelle financière.

Parmi les intrigants, deux semblent en très bonne position pour reprendre le titre ; le Père du Seigneur Kael Sombrecoeur et le Maître de Guerre, ce Lucius Tarkyn.
Je signifie mon accord d'un geste de tête.

Aussi proposé-je d'apporter notre soutien au Père du Drachau : celui-ci est peut-être plus malin mais il est âgé. Nous saurons tirer notre épingle du jeu.

Je vous vois encore circonspecte, derrière ce joli sourire ; vous vous demandez peut-être ce que vous avez réellement à y gagner, hormis le remboursement d'une dette immédiate. Hormis les assurances que vous pourrez contracter auprès du Seigneur Sombrecoeur et que je laisse à votre discrétion, je suggère que nous cessions cette stupide rivalité et nous allions de manière plus globale pour posséder un réel monopole commercial sur la cité ; vous et moi, alliés, cela représenterait peut-être la plus grande fortune de tout Naggaroth.
Assurément. Mais serez vous prêt à sacrifier part de votre fortune à mon profit, simplement pour vous assurez le soutient tout relatif de Kurthis ?
Ne soyez pas sot ! S'il tient en respect tous les intrigants depuis cinq siècles, c'est forcement qu'il a des ressources qui ne nous sont pas accessibles !

Oh, juste deux petites choses ; vous comprendrez que j'ai aussi eu vent, par la malice de ma servante que je saurais châtier, de cette idée - loin d'être stupide, comme avait l'air de le penser ce brave Alluzen - d'apporter un faux soutien au Père du Drachau et que, cette ruse étant éventée, elle ne présente plus de réel intérêt.
...
Vous semblez vous amuser de la situation, Kern. Sachez que me savoir surveillée de la sorte ne me plait guère. Vous auriez dû jouer vos cartes plus finement si vous vouliez obtenir mon soutient !
Ma combine tombe à l'eau par la faute d'Aluzzen, mais je saurais bien assez tôt tenir cet individu en laisse, et sans vos oreilles indiscrètes, il aurait tout à fait été en mesure de fonctionner.

Si vous voulez obtenir quelque chose de moi, Kern, contentez vous de me prouver votre force, plutôt que de m'endormir de belles paroles et de promesses que vous ne saurez assurer bien longtemps. Et si je puis me permettre un conseil, changez d'allégeance au profit d'un autre. Sombrecoeur n'est assurément pas celui dont vous tirerez le plus de profit...

Je lance un regard inquisiteur.
Il me semble que vous ne me dites pas tout. Si vous dites vrai concernant vos aspiration, pourquoi seriez-vous venu jusqu'ici ? Pour trahir votre commanditaire au bénéfice du premier venu ?

Il me semble que vous ne me dites pas tout. Si vous dites vrai concernant vos aspiration, pourquoi seriez-vous venu jusqu'ici ? Pour trahir votre commanditaire au bénéfice du premier venu ?

Je pars dans un grand éclat de rire.

Evidemment que je ne vous dis pas tout! Quel druchii serais-je si j'agissais ainsi.
Quant à mon commanditaire, il me semble avoir exposer mes raisons, et je n'en dirais pas plus.

Mais dîtes moi, quels sont vos avis sur les autres membres du conseil. Comme vous le savez, je ne les connais pas très bien et j'aimerais que vous éclairiez ma lanterne.

Pour tout vous dire (je souris), je n'ai confiance en aucun d'entre eux et encore moins en des inconnus tels que vous et ce "corsaire". Que viens faire un guerrier dans une intrigue politique ? Ce n'est pas en jouant du draïch que l'on récolte des voix.

Pour tout vous dire (je souris), je n'ai confiance en aucun d'entre eux et encore moins en des inconnus tels que vous et ce "corsaire". Que viens faire un guerrier dans une intrigue politique ? Ce n'est pas en jouant du draïch que l'on récolte des voix.


Je suis bien d'accord avec vous, les guerriers ont si peu d'imagination. Moi-même, je trouve horripilant leurs manières de se croire supérieurs aux autres sous prétextes qu'ils voguent sur tous les océans.